« Nous ne regretterons pas sa mort », Boris Johnson sur l’assassinat du général Qassem Soleimani
Le Royaume-Uni a enfin haussé le ton dans l’affaire d’assassinat du chef de la force Al-Qods des gardiens de la révolution iranienne, le général Qassem Soleimani. Pour le premier ministre conservateur Boris Johnson, le défunt représentait une menace pour les intérêts anglais dans la région. « Le général Qassem Soleimani constituait une menace pour nos intérêts. […] Compte tenu du rôle de premier plan qu’il a joué dans les actions qui ont entraîné la mort de milliers de civils innocents et de personnel occidental, nous ne regretterons pas sa mort », s’est-il justifié dans un communiqué.
Le premier ministre britannique Boris Johnson a réagi au décès du général Qassem Soleimani. En vacance dans les Caraïbes, le locataire du Downing Street n’a pas regretté la mort de l’iranien.
Même son de cloche de la part de son chef de la diplomatie Dominic Raab qui a ajouté que les Etats-Unis avaient le droit de se défendre. En France, l’Elysée a affiché son soutien à l’administration Trump et à l’ensemble de ses alliés. Washington et Téhéran sont en pleine escalade politico-militaire après l’assassinat du général Soleimani sur ordre du président Donald Trump dans l’aéroport de Bagdad en Irak.
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